La solitude en France

La solitude a été qualifiée par le premier ministre, François Fillon, comme la Grande Cause nationale 2011. Selon une étude réalisée par la Fondation de France, la pauvreté augmente le risque d’isolement. En France, chez les plus de 18 ans, ils sont plus de 4 millions à souffrir de solitude.

Par définition de l’INSEE, la solitude s’applique à la personne vivant avec un revenu inférieur à 949 € mensuellement. Cette pauvreté monétaire fait obstacle à une vie sociale épanouie et laisse facilement place à la solitude. Julien Damon, sociologue affirme que la pauvreté est autant un problème social qu’un problème monétaire.

18% des personnes vivant en dessous de 949€ mensuellement vivent en situation d’isolement. Chez les personnes divorcées ou en veuvage, cette solitude est nettement supérieure. Toutefois, la solitude se définit aussi par le manque d’implication au niveau des 5 réseaux de sociabilité : réseau associatif, familial, amical, voisinage et professionnel.

Selon l’observatoire de la Fondation de France, 21% des personnes pauvres profitent de 3 réseaux relationnels au minimum. Le réseau le plus commun autour duquel s’organise la vie sociale des personnes en précarité économique est le réseau amical, s’ensuivent ensuite le réseau voisinage (29%), famille (13%) et professionnel (4%).

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TOBIE a écrit:

La solitude a été qualifiée par le premier ministre, François Fillon, comme la Grande Cause nationale 2011. Selon une étude réalisée par la Fondation de France, la pauvreté augmente le risque d’isolement. En France, chez les plus de 18 ans, ils sont plus de 4 millions à souffrir de solitude.

Par définition de l’INSEE, la solitude s’applique à la personne vivant avec un revenu inférieur à 949 € mensuellement. Cette pauvreté monétaire fait obstacle à une vie sociale épanouie et laisse facilement place à la solitude. Julien Damon, sociologue affirme que la pauvreté est autant un problème social qu’un problème monétaire.

18% des personnes vivant en dessous de 949€ mensuellement vivent en situation d’isolement. Chez les personnes divorcées ou en veuvage, cette solitude est nettement supérieure. Toutefois, la solitude se définit aussi par le manque d’implication au niveau des 5 réseaux de sociabilité : réseau associatif, familial, amical, voisinage et professionnel.

Selon l’observatoire de la Fondation de France, 21% des personnes pauvres profitent de 3 réseaux relationnels au minimum. Le réseau le plus commun autour duquel s’organise la vie sociale des personnes en précarité économique est le réseau amical, s’ensuivent ensuite le réseau voisinage (29%), famille (13%) et professionnel (4%).

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, mon cher TOBIE, d'avoir lancé ce sujet !

Les bénévoles de la Société Saint Vincent de Paul ont lancé leur campagne d'année sur la solitude, connais-tu cette association ? .